Comme beaucoup, je me suis réjoui des récents propos du pape François, qu’un éditorial du Monde (du 28/29/12) a qualifié de « pape putschiste » après sa « charge dévastatrice » contre la curie romaine.
Belle manifestation de courage et de lucidité en effet, et que l’on souhaite durable, même si l’on peut craindre que la curie en question ait plus d’un tour dans son sac.
Mais je voudrais revenir un peu sur la question de l’Alzheimer, dont l’un des signes, nous dit Wikipédia, « est la perte de mémoire, qui se manifeste par des difficultés à se souvenir des faits récemment appris ».
Il n’est certes pas de mon propos de nier que le christianisme est, aujourd’hui, le courant de pensée le plus persécuté au monde.
(cf. sur ce point l’ouvrage essentiel, sous la direction de J.-M. di Falco, T. Radcliffe et A. Riccardi , Le livre noir de la condition des chrétiens dans le monde, XO éditions, 2014).
Ni de me joindre au concert de ceux qui font de l’antichristianisme sommaire un fond de commerce dont la rentabilité ne semble pas se démentir.
Mais il est tout de même difficile de ne pas se rappeler que, pendant des décennies, l’invocation par les communistes de leur appartenance au « parti des fusillés » faisait figure d’argument définitif qui était censé réduire au silence les critiques sacrilèges émettant quelques réserves quant aux épurations staliniennes, au Goulag ou autres détails de l’Histoire.
On ne voit donc pas pourquoi le fait d’être, ou d’avoir été, incontestablement dans le camp des victimes, devrait faire oublier qu’on a soi-même été, incontestablement, du côté des bourreaux.
J’étais déjà intervenu, il y a quelques mois, pour évoquer l’étonnante amnésie qui avait frappé le pape François lors de l’un de ses premiers actes officiels d’importance, la béatification massive, le 13 octobre 2013, des dénommés « martyrs de la guerre civile espagnole ».
Voir :
Car si, selon la Conférence épiscopale espagnole, 6 832 catholiques ont effectivement été tués au cours de la guerre civile, les victimes de la Croisade franquiste, copieusement bénie à tous les niveaux de la hiérarchie catholique, à commencer par les papes, se chiffrent, elles, par dizaines, voire centaines de milliers (selon Antony Beevor, historien reconnu du franquisme, le bilan de la répression nationaliste atteindrait les 200 000 victimes : La Guerre d’Espagne, Calmann-Lévy, 2006, pp. 180-181. D’autres historiens, Michael Richard, Gabriel Jackson, etc. parlent de 400 000).
Certes, les débats de chiffres apparaissent indécents devant de telles horreurs.
Mais pourquoi donc, de la part de la hiérarchie catholique, organiser de façon délibérée et rémanente le silence sur ces exécutions ?
Au milieu des actions de grâce à la gloire de la sainteté des « martyrs », le calvaire de ces malheureux innombrables ne méritait-il pas d’être au moins mentionné ?
Ne parle-t-on pas de « charité chrétienne » ?
Notre bon pape François serait-il donc lui aussi atteint de quelque symptôme « d’Alzheimer spirituel », et sur un sujet tout de même autrement important que les gargouillis, certes insupportables mais plutôt véniels, du marécage curial ?
Dans le post cité plus haut, j’avais dit que « l’oubli, l’omission, comme la justification des crimes du passé – et du présent – a toujours été, on le sait, un laissez-passer pour les crimes à venir ».
Et j’ai été heureux de trouver cette opinion confortée par la lecture du beau prix Goncourt de Lydie Salvayre quand elle évoque les propos du Bernanos des Grands cimetières sous la lune :
« Et tant pis si ses paroles manquent de mesure.
Et tant pis si elles sont imprudentes.
Elles le seront toujours moins que le déni (on sait d’expérience qu’un mal dénié réapparaît plus violemment). Elles le seront toujours moins que l’indifférence polie qui endort le cœur et engourdit la langue. Et elles le seront toujours moins que le silence (…). Aux yeux de Bernanos, l’Église espagnole, en se faisant la sous-traitante de la Terreur des nationaux, a perdu définitivement son honneur » (Pas pleurer, Seuil, 2014, p. 94).
Pour ma part, je n’aurais peut-être pas été aussi loin ; j’aurais peut-être accordé un sursis, quoique sans trop d’illusion, avant le « définitivement ». Mais il est vrai que le fait de voir l’actuelle Église d’Espagne entraîner dans la complicité le pape François, jusqu’à lui faire entériner par son silence les appels à la Croisade de la hiérarchie et le mutisme, voire la bénédiction de ses prédécesseurs Pie XI et Pie XII ne laisse pas de poser question…
Faut-il donc rappeler au Saint Père que Lydie Salvayre est psychiatre (ça ne s’invente pas !), et qu’à ce titre, elle est particulièrement qualifiée pour ce qui est du traitement de l’Alzheimer ?
Peut-être préconiserait-elle dans ce but quelques exercices de mémoire, qui utiliseraient toujours les écrits de Bernanos, par exemple :
« Que les rouges d’Espagne aient massacré des prêtres, ce n’était qu’une raison de plus, dit Bernanos, une raison déterminante pour prendre ouvertement la défense de leurs femmes et de leurs enfants innocents. À ses yeux de chrétien porté par l’esprit de l’Évangile et le cœur de Jésus, s’il est un abri sur terre, un lieu de miséricorde et d’amour, c’est au sein de l’Église qu’il se trouve » (id. ibid. p. 93).
Ou encore :
« L’épuration entreprise par les nationaux avec la bénédiction immonde du clergé est aveugle, systématique, et relève de la Terreur. Il hésite encore à le dire. Il hésite encore à franchir le pas. Il sait que celui-ci franchi, il devra aller jusqu’au bout, vaille que vaille. Et ce projet lui harasse l’âme. Mais les faits sont là : on ne comptait pas cinq cents phalangistes à Palma [de Majorque. C’est là que réside Bernanos durant la guerre civile] avant le pronunciamento, ils sont à présent « quinze mille grâce au recrutement éhonté organisé par les militaires » sous la direction d’un aventurier italien du nom de Rossi, lequel a fait de la Phalange « la police auxiliaire de l’armée chargée des basses besognes ». Et cette nouvelle Phalange de 36 terrorise le peuple palmesan. Exemple. Quelques jours après le coup d’État, deux cents habitants de la petite ville de Manacor sont jugés suspects, « tirés de leur lit en pleine nuit, conduits par fournées au cimetière, abattus d’une balle dans la tête, et brûlés en tas un peu plus loin ». L’évêque-archevêque de Palma a délégué là-bas l’un de ses prêtres en jupons qui, ses gros souliers pataugeant dans le sang, distribue les absolutions entre deux décharges, puis trace sur le front des morts à l’huile consacrée la croix qui leur ouvrira les portes du Ciel. Et Bernanos de noter : « J’observe simplement que ce massacre de misérables sans défense ne tira pas un mot de blâme, ni même la plus inoffensive réserve des autorités ecclésiastiques qui se contentèrent d’organiser des processions d’actions de grâce. » (id. ibid. p. 50-51).
« Pendant des mois, écrit Bernanos, « des équipes de tueurs, transportées de village en village par des camions réquisitionnés à cet effet, abattent froidement des milliers d’individus jugés suspects ». Et le très enfoiré archevêque de Palma, qui en est informé comme tout le monde, ne s’en montre pas moins, chaque fois qu’il le peut, et comme si de rien n’était, « aux côtés de ces exécuteurs dont quelques-uns ont notoirement sur les mains la brève agonie d’une centaine d’hommes ». Comme si de rien n’était, des prêtres distribuent à leurs ouailles des images de la sainte Croix entourée de canons (ma mère en conserve une dans sa malle à photos).
Comme si de rien n’était, des recrues carlistes portant le Sacré-Cœur de Jésus cousu sur leur chemise abattent au nom du Christ Roi des hommes qu’un simple mot a déclarés suspects. Comme si de rien n’était, l’épiscopat espagnol, vendu aux meurtriers, bénit la terreur que ces derniers instaurent in nomine Domini.
Et comme si de rien n’était, toute l’Europe catholique ferme sa gueule. » (id. ibid. p. 70-71).
Quel contraste entre le triomphalisme du pape lors de la « victoire » des nationalistes :
« Le 24 avril 1939, l’Éminentissime pape Pie XII, à peine élu, déclara : C’EST AVEC UNE JOIE IMMENSE QUE NOUS NOUS TOURNONS VERS VOUS, TRÈS CHERS FILS DE LA TRÈS CATHOLIQUE ESPAGNE, POUR VOUS EXPRIMER NOS FÉLICITATIONS PERSONNELLES EN RAISON DU DON DE LA PAIX ET DE LA VICTOIRE DONT DIEU A COURONNÉ L’HÉROÏSME DE VOTRE FOI ET DE VOTRE CHARITÉ. » (id. ibid. p. 278)
Et le Christ de Bernanos, dont Lydie Salvayre nous dresse une image éblouissante :
« Bernanos, de son côté, n’en finissait pas de méditer sur les événements d’Espagne, qui resteraient présents à son esprit jusqu’à la fin de ses jours et marqueraient à tout jamais sa pensée et sa foi. Les infamies de l’Église qui l’avaient glacé d’horreur, son cynisme, ses froides spéculations, sa prudence sénile l’amenaient paradoxalement à affirmer son amour du Christ avec une passion redoublée. Mais son Christ à lui n’était pas celui, magique, de la mère de Montse [Montse est la mère de Lydie Salvayre, qui entrecroise le récit de sa vie avec les textes de Bernanos], ni celui vindicatif et porté à voir le mal partout de dona Pura [qui fait partie de la belle famille de Montse], encore moins celui, potentesque, de l’évêque-archevêque de Palma. Son Christ à lui était simplement celui des Évangiles, celui qui secourait les mendiants, pardonnait aux larrons, bénissait les prostituées et tous les humbles et tous les déclassés et tous les va-nu-pieds chers à son cœur. Il était celui qui disait au jeune homme riche : Va, vends tes biens et donne-les aux pauvres. Il suffisait, bon sang, de lire les Évangiles ! Celui qui vomissait ceux-là qui parlent et ne font pas, ceux-là qui mettent de lourds fardeaux sur les épaules des autres alors qu’eux-mêmes se prélassent. Il suffisait d’ouvrir les Évangiles à n’importe quelle page ! Celui qui méprisait les vaines grandeurs et réservait ses foudres aux personnages en vue qui allaient bâfrer chez les puissants et fondaient de plaisir en s’entendant appeler maîtres.
Le Christ de Bernanos était assez proche, étonnamment, du Christ fraternel de Pier Paolo Pasolini, lequel voyait en la figure de Jésus et en ceux qui l’escortaient, sans foyers ni tombeaux, les pauvres réfugiés des drames d’aujourd’hui. Il était celui qui n’avait pas été mis en croix par les communistes ni par les sacrilèges, soulignait Bernanos avec sa mordante ironie, « mais par des prêtres opulents approuvés sans réserve par la grande bourgeoisie et les intellectuels de l’époque qu’on appelait des scribes ».
Fallait-il donc redire ces vérités premières aux prélats espagnols et à leurs dévots ?
Et que faisaient ces dévots de la grâce de Dieu qui ouvrait à deux battants les portes de l’amour? Ne devait-elle pas rayonner d’eux comme d’une ampoule électrique ? Où diable ces dissimulés cachaient-ils donc leur joie d’aimer les misérables ? Fallait-il leur répéter, en leur sonnant les cloches, que le Christ avait été un pauvre parmi les pauvres, comme plus tard le Poverello, qui annonça, sur les routes de l’Ombrie, le règne de la pauvreté. Mais « les dévots sont gens malins. Aussi longtemps que le Saint s’est promené à travers le monde aux côtés de la Sainte Pauvreté qu’il appelait sa dame, ils n’osaient encore trop rien en dire. Mais le Saint une fois mort, que voulez-vous ? ils se sont trouvés tellement occupés à l’honorer que la Pauvreté s’est perdue dans la foule en fête… La canaille dorée ou pourprée avait eu chaud. Ouf ! »
Aucune imposture aux yeux de Bernanos n’égalait celle-ci.
Il serait accusé, pour l’avoir écrit, de faire le jeu des communistes contre les nationaux que ses anciens amis soutenaient. » (id. ibid. p. 156-158).
Cet appel au Poverello d’Assise ne devrait-il pas ranimer la mémoire du pape François, qui l’a choisi pour modèle ?
Et l’encourager, au-delà de ses habituelles performances de communicant, à poser des actes enfin crédibles en faveur de tous ces « déclassés » et « va nu pieds » chers au cœur du Christ, ou du moins ceux que la « canaille dorée et pourprée » a décidé de désigner comme tels (homosexuels, divorcés ou autres abominables concubinaires) à défaut de remettre en question sa complicité avec les sanguinaires fauteurs de Croisade.
Une toute petite mention des quelques centaines de milliers de « misérables » mécréants froidement assassinés lors de la dernière – et si proche – grande Croisade catholique aurait donc été aussi un pas essentiel dans ce sens.
Une belle occasion manquée, hélas bien révélatrice de la permanence d’un état d’esprit…
Je ne cherche aucunement à « retourner le fer dans la plaie », car j’éprouve une sincère sympathie pour les efforts du pape François.
Je me demande simplement si l’ampleur du travail à accomplir ne dépasse pas, encore plus que ses forces, l’horizon de ce qu’il est capable de concevoir, peut-être même de ce qu’il accepte de concevoir…
« On ne résout pas un problème avec les modes de pensée qui l’ont engendré » disait, paraît-il, Einstein.
Cf. :
Cela demande bien des renoncements, qui seuls sans doute pourraient venir à bout de « l’Alzheimer spirituel ». Or, qui peut se flatter de ne pas être quelque part « le jeune homme riche » ?
« Mais, affligé de cette parole, il s’en alla tout triste ; car il avait de grands biens » (Évangile de Marc, X,22).
Et quels « biens » sont plus pernicieux que ceux entassés par des siècles d’habitus ecclésiastiques ?
Mais, pour terminer sur une note plus plaisante, Stultitia, dont on connaît la piété, m’a raconté sa veillée de Noël dans une grande paroisse, pas spécialement intégriste, d’une grande ville du grand Sud-Ouest.
Quel ne fut pas son étonnement de constater que les « servants d’autel » (autrement dit « enfants de chœur ») y étaient tous de sexe masculin !
Comment ? Ne se gargarise-t-on pas, dans les milieux autorisés, de grands discours sur la « promotion des femmes dans l’Église » et autres ronflantes déclarations ?
Ne pourrait-on alors entreprendre de donner aux filles les mêmes responsabilités qu’aux garçons, en commençant à un si humble niveau ?
Pour ma part, depuis belle lurette, j’ai pris l’habitude d’estimer l’état d’avancement et de légitimité d’une institution ou d’un type de gouvernement par la place qu’ils confèrent aux femmes. C’est en général un signe qui ne trompe pas.
Mais Pouce ! Diront de doctes théologiens : « il est bien entendu que le service de l’autel n’est pas interdit aux femmes. Mais comme ce service a souvent constitué un premier pas vers la vocation dite ‘’sacerdotale’’, et que seuls les hommes peuvent accéder à une telle vocation, il convient donc de faire en sorte de privilégier le recrutement des garçons pour le service d’autel ».
Par exemple :
« Pour bien saisir la pensée de l’Église au sujet de la liturgie, il convient de lire les instructions dans leur totalité. Or dans le cas des servants d’autel, nous voyons qu’il est clairement dit, au n°47des nouvelles normes liturgiques de 2004, que les filles ou les femmes peuvent être admises à ce service de l’autel au jugement de l’évêque diocésain ; dans ce cas il faut suivre les normes établies à ce sujet (note 122). Que disent ces normes que l’on prend généralement soin d’omettre ? Elles donnent des instructions pratiques en six points (cf. Lettre de la Congrégation pour le culte divin aux présidents des conférences épiscopales, 15 mars 1994). Le cinquième point dit clairement ceci :Tout en respectant la décision que, pour des raisons déterminées selon les conditions locales, certains Évêques ont adoptée, le Saint-Siège rappelle qu’il sera toujours très opportun de suivre la noble tradition du service de l’autel confié à de jeunes garçons qui a eu pour effet depuis un temps immémorial le développement des futures vocations sacerdotales. Ainsi, l’autorisation de l’Évêque ne peut, en aucun cas, exclure du service de l’autel les hommes en particulier les jeunes garçons. L’obligation de continuer à favoriser l’existence de ces groupes d’enfants de chœur demeurera donc toujours. »
http://paroissesvexinouest.pagesperso-orange.fr/pdf/edvservantes201307.pdf
et bien d’autres démonstrations similaires.
Essayons donc de décortiquer sans céder à l’hilarité (« Hilarité ? Pourquoi ?», demande Stultitia avec son air le plus sérieux…) ces puissants sophismes qui ont fait couler bien de l’encre dans les Landerneau ecclésiastiques :
1) Filles et garçons sont bien entendu égaux devant le service de l’autel.
2) Mais, comme le disait Orwell dans « La ferme des animaux », « certains sont plus égaux que d’autres ».
3) La raison de ce « surcroît d’égalité » de certains est que le service dévolu aux femmes dans l’Église (sauf rares exceptions celui de balayer les locaux, de préparer les bouquets, de faire quelques lectures et autres tâches valorisantes) ne peut en aucun cas être comparé au « service » réservé aux hommes, qui étant seuls dignes de bénéficier de la sacra potestas
(sur tout cela cf. :
et tout particulièrement l’extraordinaire développement théologique de Fernand Raynaud)
et donc d’être, dans le « sacerdoce », « les associés de la très sainte Trinité; (…) les coopérateurs du Tout-Puissant en ses plus grandes œuvres.» (Jean Eudes, Le Prêtre, associé de la Trinité, Mémorial de la vie ecclésiastique, 1re p; Œuvres complètes 3, 14-16), ont seuls le droit de parler d’autorité pendant que les autres se taisent, de confisquer à leur profit le titre de « célébrant » de la liturgie, etc.
4) La discrimination entre les sexes dans les services d’Église est donc fondée sur l’être même des personnes. Elle est donc ontologique, je dirais même plus « ontothéologique ». Raison pour laquelle, en définitive, les petites filles ne sont pas franchement les bienvenues comme « servantes d’autel ». CQFD.
(Rappelons en passant qu’une telle argumentation surréaliste serait impossible dans le judaïsme, le christianisme, ou encore l’islam, pour lesquels la notion de Sacra Potestas est un blasphème, puisque la seule « efficacité » d’une célébration liturgique est due à la promesse de Dieu actualisée dans le mémorial, et non à une quelconque « puissance » ou un quelconque « pouvoir » des hommes. Sur tout cela, cf. encore les « rudiments de théologie sommaire » exposés par Desideriusminimus dans le post cité plus haut).
« Mais sans doute Rome, dont François est l’évêque, fait-elle exception, en réconciliant l’Église avec des pratiques plus chrétiennes. Et il est probable qu’on y voit partout des petites filles ‘’servantes d’autel’’, qui préparent, par la base, cette grande promotion des femmes dans l’Église », me dit Stultitia, rêveuse.
Il suffit en effet de jeter un œil sur les retransmissions de cérémonies.
« On ne résout pas un problème avec les modes de pensée qui l’ont engendré » disait, paraît-il, Einstein….
Et meilleurs vœux à toutes et à tous !